• Gerard Gasquet, Photographe Coloriste. Installé en banlieue toulousaine, je peux vous proposer mes expositions en location ou en prêt et à la vente des tirages photographiques de format et de support variable, numérotés et signés, avec certificat d’authenticité.

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A propos

J’ai acquis mon premier appareil photo reflex en 1970 pour mon départ en Egypte… où, quatre jours après mon arrivée,  le Raïs Gamal Abdel Nasser décédait. Ainsi mes premières photos ont été prises dans les rues du Caire lors de ces grandioses funérailles.
La photographie est vite devenue une de mes principales activités depuis la prise de vues jusqu’à l’exposition en passant par toutes les étapes du laboratoire.
Avec mon ami et colocataire Raymond Collet (portfolio: 1001images.com) nous avons créé le Club Photo du Centre Culturel Français de Mounira et ainsi partagé notre passion.

Mes photographies sont alors des traces des grandes civilisations autour de la Méditerranée (égyptienne, grecque, romaine, arabe,…), des scènes de la vie quotidienne des pays où j’ai vécu, voyagé, principalement au Moyen Orient et en Afrique.

Dans les années 80, lors de stages aux Rencontres Internationales d’Arles, j’ai rencontré de grands photographes comme Philippe Salaün, Roland Laboye ou John Batho . Ce dernier m’a communiqué le virus de la photographie coloriste.Les photographes dits coloristes comme William Egglestone, Saul Leiter, Luigi Ghirri, Franco Fontana ou John Batho ont exploré au début des années 70 les spécificités de la couleur en utilisant les caractéristiques des pellicules inversibles (diapositives Kodachrome souvent). Ils font passer le sujet après la couleur qui devient le centre de leurs oeuvres par l’intensité et le contraste.

A mon tour, j’ai transmis mes connaissances dans mes activités d’enseignement et de responsable d’un service audiovisuel à Dakar et initié des stagiaires en particulier à la pratique du tirage Cibachrome Le Cibachrome est un procédé de tirage photographique couleur permettant d’obtenir une épreuve directement à partir de diapositives couleur (procédé « positif-positif »), contrairement à l’utilisation d’un transfert via un internégatif. Les produits, chimie et papiers, ont été produits jusqu’en 2013 par la société Ilford. Ces tirages sont réputés pour leurs qualités d’archivage (constance des colorants dans le temps) et leur brillance presque métallique. Beaucoup de tirages cibachrome sont dans les musées.

En parallèle, j’ai souvent présenté mes travaux dans des expositions personnelles ou collectives.

Aujourd’hui à la retraite, je poursuis des créations « kaléidoscopiques » Pour ma principale exposition « Kaléidoscopies » débutée en 1981 lors d’un stage à Arles, j’ai créé ce néologisme construit à partir des mots grecs : kalos, beauté ; eidos, aspect et skopein, regarder. et des recherches sur notre monde en mutation.

Avec la période des confinements liés à la pandémie de la COVID-19, je classe, trie, numérise et retravaille mes archives argentiques pour en ressortir des images témoignant de rencontres et d’émotions à travers la richesse humaine, la variété de l’architecture ou de la nature allant parfois jusqu’à l’abstraction…

Et voici les traces de mon parcours photographique mis en ligne avec la création de ce site conçu et réalisé grâce à l’aide d’Alexandre et Acme-Webcréations.

A vous de partager mes images… et merci de vos remarques.